
Sa vocation a-t-elle précédé sa création ? On peut se poser la question si l’on considère les premiers pas du laboratoire ACM initiés dès 2001 par Thierry Leveillé Nizerolle. Entouré de dermatologues, chimistes, formulateurs, scientifiques, l’entrepreneur n’a qu’une ambition, celle d’édifier une structure entièrement investie dans la défense et l’amélioration de la santé cutanée. Le laboratoire qu’il nomme ACM, acronyme d’Active Cosmetics and Medecines, veut faire entendre sa voix dans des problématiques pointues touchant la peau. Il débute sa mission par l’acquisition de Vitix, une formule majeure du champ de la pathologie cutanée. Ce gel, dédié aux personnes atteintes de Vitiligo, contient un complexe végétal breveté capable de réguler les zones dépigmentées du visage et du corps. Il agit en rétablissant l’équilibre physiologique en radicaux libres au niveau de l’épiderme et protège ainsi les cellules du stress oxydatif, connu pour favoriser le dysfonctionnement pigmentaire. Deux références supplémentaires, Viticolor gel correcteur de teint et comprimés, viendront seconder la formule historique pour constituer la gamme Vitix.
Thierry Leveillé Nizerolle n’a qu’une ambition, celle d’édifier une structure entièrement investie dans la défense et l’amélioration de la santé cutanée
Quelques années plus tard, ACM lance les compléments alimentaires Novophane voués à fortifier la fibre capillaire et solidifier les ongles. Associés au shampoing énergisant et à la lotion anti-chute, ils formeront une routine dédiée à endiguer la chute capillaire. Elle s’inscrira, par la suite, dans une gamme comptant pas moins d’une dizaine de références consacrées à la santé du cuir chevelu. Dès lors, l’impulsion est donnée pour le laboratoire qui va suivre une route toute tracée. Elle le conduira à acquérir Trigopax en 2010. Ce soin protecteur et apaisant s’applique sur les zones de plis cutanés – axilaires, sous-mammaires, interfessiers, inguinaux mais aussi entre les orteils, au niveau des coudes et des genoux - pour limiter les frottements et la macération.
Un dialogue permanent
Deux ans plus tard, c’est une autre pointure du soin dermatologique qui se range sous la bannière ACM. Seule référence au statut de dispositif médical dans toute l’offre du laboratoire, Molutrex est une solution dosée à 5 % d’hydroxyde de potassium dédiée au traitement du molluscum contagiosum. Il vient conforter une offre dont le positionnement médical va s’affirmer un peu plus lors du lancement de Depiwhite en 2013.
Cette formule, imaginée et élaborée par le service de recherche&développement ACM, est le fruit d’une démarche qui illustre parfaitement la philosophie du laboratoire… Comme le fait sa signature « L’humain au cœur de la dermatologie » offrant à la discipline une dimension exemplaire. Car c’est une définition humaine de la dermatologie que défend ACM. Engagée, accessible, au service de la qualité de vie, elle est portée par le dialogue et la collaboration entre experts et patients. Une spécificité cultivée dès les débuts du laboratoire, quand l’équipe que constituent seulement six collaborateurs, délègue deux des siens pour visiter inlassablement les cabinets des dermatologues. Jour après jour, les visiteurs médicaux rencontrent les praticiens, les écoutent évoquer le parcours des patients, les difficultés, les attentes. Bientôt, un réseau entier de spécialistes se tisse et interagit avec le laboratoire dans l’objectif de mieux connaître les pathologies, les besoins qu’elles engendrent en termes d’actifs, de cosmétique, les nouvelles indications…
Permanent, l’échange va se poursuivre au fil des ans, incluant la communauté scientifique, les associations de patients. Tout un socle fait de connaissances, d’expériences, de témoignages se constitue orientant le laboratoire au cœur du besoin. Car ce qui compte est d’apporter des réponses qui traitent, soulagent, apaisent. Le seul objectif est d’obtenir des résultats visibles, des solutions efficaces en développant des formules pointues, cliniquement prouvées, issues d’une charte de formulation sans compromis… Une démarche qui va conduire le laboratoire à devenir numéro un en prescription médicale de soins antitaches en France dès 2021. En témoigne la crème Dépiwhite Advanced, conçue pour traiter toutes les taches (lentigo sénile ou actinique, masque de grossesse). Adaptée à tous les types de peau, elle met en œuvre le premier activateur de biodégradation de la mélanine, un complexe d’actifs associant niacinamide, vitamine C et acide kojique. Appliquée au visage, elle atténue ou réduit les taches brunes liées au vieillissement cutané et à l’exposition au soleil en activant et accélérant la dégradation naturelle et progressive de la mélanine.
Dépasser les connaissances
Le produit qui constitue une innovation majeure dans l’historique R&D du laboratoire va donner lieu à toute une gamme de soins Dépiwhite - crème protectrice invisible ou teintée SPF50+, crème corps, crème antitaches zones sensibles et intimes, gel contour de l’oeil, compléments alimentaires - spécifiquement dédiés aux problèmes d’hyperpigmentation.
15 %
d’acide azélaïque font d’Azéane une formule dédiée aux marques brunes, teint terne, rougeurs et autres imperfections
Une dernière innovation, le Dépiwhite Sérum, est récemment venue l’étoffer. Sa formule qui abrite 12 actifs antitaches à haute concentration repose sur deux découvertes : d’une part, le dysfonctionnement du mélanocyte n’est pas l’unique source de la lésion pigmentaire. D’autres facteurs sont responsables de la surstimulation des mélanocytes à savoir les kératinocytes, la lame basale lorsqu’elle est altérée et les cellules endothéliales ; d’autre part, les désordres pigmentaires ne résultent pas que de la mélanine mais sont aussi dus à la lipofuscine, un pigment cellulaire de couleur brune qui ne trouve pas son origine dans la mélanogénèse. Ces deux avancées ont conduit la recherche ACM à formuler un sérum capable de répondre aux différentes problématiques de taches, y compris le mélasma, l’hyperpigmentation post-inflammatoire et le teint terne en ciblant les peaux claires à foncées. Une autre innovation, lancée en 2024, s’est consacrée à l’uniformité du teint et à l’aspect général de l’épiderme. La crème Azéane vise les marques brunes, le teint terne, les rougeurs, les imperfections et défauts du grain cutané à l’aide d’une formule dosée à 15 % d’acide azélaïque. Autre référence du laboratoire à figurer en tête de liste des prescriptions médicale en matière de soins antitaches, elle s’adresse aux adultes, adolescents et à tout phototype à partir de 10 ans.
15 gammes au portefeuille
Quinze gammes composent désormais le portefeuille du laboratoire ACM. Chacune répond à une problématique – hyperpigmentation, irrégularité cutanée, soin des phanères, vieillissement cutané, imperfections, dépigmentation, peaux à tendance acnéique, réparation cutanée, rougeurs, irritations, démangeaisons, peaux sensibles, peaux sèches, traitement du molluscum contagiosum – et témoigne d’un engagement de près de 25 ans au service de la peau et de sa santé.
Dédié exclusivement au circuit pharmaceutique et distribué dans plus de 80 pays du monde, l’édifice ACM a rejoint en 2019 le groupe Cantabria Labs, leader sur le marché de la prescription en produits dermatologiques, de médication familiale et produits vétérinaires en Espagne, au Portugal et en Italie. Reconnu en France et à l’international pour son expertise en santé cutanée, ACM a définitivement positionné son activité sur une courbe ascendante dont témoigne une croissance à deux chiffres enregistrée tous les ans.
Laboratoire ACM.
Christelle Robert : pharmacienne, directrice générale. Effectif du laboratoire : moins de 50 personnes. Site de production : France. Présence à l’étranger : dans plus de 80 pays du monde. Nombre d’unités vendues par an : 7 millions. Principales gammes du laboratoire : Dépiwhite, Azéane, Novophane, Molutrex.
Toujours à l’écoute
Comme l’indique sa signature « Human first dermatology » (« L’humain au cœur de la dermatologie », le laboratoire ACM s’est construit autour d’une idée majeure, celle de développer une dermatologie humaine, engagée, accessible, au service de la qualité de vie, portée par le dialogue et la collaboration entre experts et patients. Quel que soit le type de peau, la pathologie ou la culture, le laboratoire défend une écoute active et une compréhension approfondie des attentes exprimées. Un principe qui l’a poussé à mettre en œuvre deux démarches bien particulières au service des patients : parce que l’impact d’un soin va au-delà de la peau, l’Indice ACM de qualité de vie, sous la forme d’un questionnaire, mesure l’amélioration durable des aspects émotionnels, physiques et sociaux du quotidien des patients ; partenaire de l’Association Française du Vitiligo depuis plus de 20 ans, le laboratoire s’engage à améliorer la qualité de vie des personnes touchées et à sensibiliser le public sur l’impact émotionnel de la pathologie.
 
                        
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