L’utilisation de la mention « non substituable » (NS) par les médecins, certes parfaitement légale, paraît parfois relever d’une stratégie « anti-génériques », indique Frédéric van Roekeghem. Dans ce contexte, « la question de la bonne utilisation du droit de demander à ne pas substituer doit se poser, affirme le directeur général de l’assurance-maladie. On sait très bien que pour certains médicaments, à marge thérapeutique étroite notamment, quand le traitement a été initié avec un produit, il est souhaitable de continuer avec ce même produit. Personne ne remet en cause ce fait. En revanche, certains comportements tendant vers une mauvaise utilisation de la mention NS ne vont pas dans le bon sens ». Aussi, le directeur général de l’UNCAM explique qu’il va creuser la question et proposer « une modification de la réglementation si cela se révélait nécessaire ».
Vers un renforcement du contrôle du NS ?
Publié le 03/02/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3065
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