MARS. L’épidémie de Covid-19 déferle sur la France. Les sollicitations se multiplient au comptoir en masques, solutions hydroalcooliques (SHA) et certains médicaments, mais les tensions d’approvisionnement durcissent la réponse des officinaux. Dans ce cadre, et avec l’instauration du confinement le 17 mars, des missions exceptionnelles leur sont dévolues : distribution des masques du stock de l'État, restriction de délivrance du paracétamol, du Plaquenil (hydroxychloroquine) et du Kaletra (lopinavir-ritonavir), renouvellement des traitements chroniques, fabrication du SHA, dispensation de médicaments de la réserve hospitalière, dispensation à domicile… L’encadrement du prix des SHA, le 6 mars, est salué par la profession, qui regrette néanmoins les contrôles excessifs de la DGCCRF dans les pharmacies. Avec l’assouplissement des règles de la téléconsultation, les pharmaciens sont de plus en plus confrontés à des ordonnances hors cadre légal. Alors que la controverse sur l’hydroxychloroquine fait rage, l’essai européen Discovery est lancé le 22 mars.
Mars
Le mois de tous les changements
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Publié le 05/01/2021
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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