Favorable au projet de décret sur les holdings remis aux pouvoirs publics, l’USPO estime que l’absence d’accord expose la profession à un danger, celui de relancer le débat sur l’ouverture du capital au niveau européen. Fermement opposé à l’entrée de capitaux extérieurs à la profession, le syndicat souligne que le texte envisagé permet également l’accession des jeunes à la titularisation, une nécessité pour une profession dont la démographie vieillit. Autre avantage : il limite le nombre de prise de participations d’un pharmacien, et, donc, les montages en cascade. Quant au risque de voir le pharmacien titulaire exercer dans une SEL dans laquelle il ne détiendrait pas la majorité du capital, le syndicat affirme que toute autre solution remettrait en cause le schéma proposé. En clair, pour permettre l’intégration fiscale, la holding doit détenir 95 % d’une SEL. Du coup, le pharmacien ne peut posséder que 5 %. En revanche, rien ne l’empêche d’être majoritaire en capital dans la SPF PL* qui chapeaute la SEL, explique le président délégué de l’USPO, Gilles Bonnefond.
Pourquoi l’accord sur les holdings est nécessaire
Publié le 06/05/2010
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2748
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