Plus de trois semaines après la mort d’un volontaire lors d’un essai clinique à Rennes, le mystère reste entier.
« Nous n’avons pas identifié de faute », assure dans un entretien au « Figaro » François Peaucelle, directeur général de Biotrial, centre dans lequel se déroulait l’essai clinique. « Nous n’avons observé aucun comportement qui ait pu être la cause de ce qui s’est produit », déclare-t-il.
	Outre le décès d’un homme de 49 ans, l’essai de la molécule « BIA 10-2474 » du laboratoire portugais Bial avait occasionné cinq autres hospitalisations. Tous ces volontaires sont aujourd’hui rentrés chez eux.
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