Dans le cadre de l’expérimentation de la vaccination antigrippale* en officine qui va durer trois ans, 3 000 pharmaciens volontaires des régions Auvergne-Rhône-Alpes et Nouvelle Aquitaine, sont autorisés à vacciner. Les personnes concernées sont celles ayant reçu un bon de prise en charge, déjà vaccinées les trois années précédentes, à l’exception des femmes enceintes. Cette année, l’Assurance-maladie a envoyé plus de 12 millions de bons de prise en charge, soit 500 000 de plus que la saison dernière. « La vaccination ne doit pas être remise à plus tard faute de temps ou de complexité dans le parcours, d’autant qu’il s’agit d’un geste à la fois simple et efficace », affirme la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. C’est pourquoi elle souhaite engager « des actions en coopération avec les professionnels de santé pour rapprocher l’offre de vaccins contre la grippe » qui se concrétiseront l’an prochain et permettront aussi de combattre « les inégalités sociales et territoriales d’accès aux vaccins ; c’est notamment l’objet de l’expérimentation de la vaccination chez le pharmacien ».
* Les vaccins pris en charge par l'assurance-maladie pour la campagne 2017-2018 sont Immugrip (Pierre Fabre), Influvac (Mylan) et Vaxigrip (Sanofi).
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