Un an et demi après la limitation de la prescription en seconde intention des pilules de 3e et 4e génération en France, le ministère de la Santé dresse un bilan. « Aujourd’hui, on constate qu’aucune désaffection vis-à-vis de la contraception n’a été observée en France : c’est ce que confirme l’enquête « Fecond » menée en 2013 par l’INSERM et l’INED publiée ce jour », affirme Marisol Touraine, qui se réjouit de ces résultats « très positifs ». Pour la ministre de la Santé, « ils montrent que le message selon lequel « la bonne contraception, c’est celle qui est délivrée à la bonne personne, au bon moment » a été entendu par les femmes comme par les professionnels de santé ». L’étude Fécond 2013 montre que la part de femmes n’utilisant pas de moyen de contraception reste stable (3 %), qu’une femme sur cinq a récemment changé de contraception et que la baisse de consommation des pilules de 3e et 4e génération s’est faite au profit d’autres méthodes (pilules de 2e génération, stérilet, préservatifs, etc.).
« Aucune désaffection vis-à-vis de la contraception », selon le ministère de la Santé
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Publié le 13/05/2014
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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