Pascal Brière, président de Biogaran, avait déjà dévoilé en mai dernier son positionnement en faveur de l'interchangeabilité des biosimilaires avec le biomédicament d'origine par le pharmacien et le médecin. Il confirme cette vision en affirmant que le développement des biosimilaires de ville n'aura lieu qu'avec la mise en place de cet « acte pharmaceutique rémunéré lié à une ROSP médecin ». Pour cela, Biogaran attend « une réponse politique ». Car si les biosimilaires gagnent rapidement leur place en milieu hospitalier, ce n'est pas le cas à l'officine. Ainsi, le biosimilaire de Lantus (insuline glargine) lancé en janvier 2016 n'occupe que 2,3 % de parts de marché tandis que la copie de Benepali (étanercept), lancée en octobre dernier, peine à atteindre les 2 %. Biogaran se focalise actuellement sur des biosimilaires hospitaliers (infleximab, rituximab et prochainement trastuzumab) mais espère bien « écrire les futures pages des produits de biothérapie qui représentent sans doute aussi le futur du médicament en ville ».
Biosimilaires : Biogaran prône l'interchangeabilité
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Publié le 25/09/2017
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3374
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