Pour le Dr Philippe Vermesch, président du Syndicat des médecins libéraux (SML), « quand le pharmacien n'arrive pas à joindre le prescripteur et en cas de rupture de stock, il peut tout à fait proposer un équivalent thérapeutique au patient. Pour cela, il doit travailler en coordination avec le médecin, en notant tout médicament substitué dans le dossier médical partagé (DMP) ».
Le Dr Jean-Paul Ortiz, président de la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) pense, lui, que « le pharmacien est légitime pour suggérer au prescripteur un médicament de substitution équivalent à celui qui est en rupture, conformément à la liste de médicaments qui pourrait être établie par l'ANSM. Mais il doit toujours avoir l'accord du médecin avant d'offrir une alternative au patient. Cela permet notamment d'éviter tout risque d'incompatibilité entre la pathologie du patient et la molécule de substitution (mode d'action, d'élimination…). »
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