Acteurs de santé publique, et professionnels de santé de proximité, les pharmaciens ont un rôle important à jouer dans le sevrage tabagique.
- Ouvrir le dialogue : lors de la délivrance d’une ordonnance à visée pulmonaire ou cardiovasculaire, lors d’une demande de conseil pour une toux ou même un teint terne… tous les prétextes sont bons pour commencer à parler de sevrage tabagique.
- Faire le point sur la consommation : le test de Fagerström permet au pharmacien d’évaluer le niveau de dépendance du fumeur à la nicotine et d’élaborer la meilleure stratégie d’arrêt.
- Accompagner et conseiller : un programme de suivi personnalisé avec entretiens réguliers peut être mis en place afin d’encourager et motiver le patient, de valoriser les bénéfices déjà constatés, de surveiller les signes de sous ou surdosage en nicotine ou la survenue de manifestations dépressives.
- Participer au « Moi(s) sans tabac » : vitrophanie et approvisionnement en kits d’arrêt du tabac à distribuer au public. Ces kits contiennent un livret pour préparer son arrêt, un agenda sur 30 jours avec conseils, messages de félicitations et d’encouragement, et des informations sur les bénéfices engrangés et les économies faites en arrêtant de fumer.
- Proposer d’adhérer à « Tabac Info Service » afin de bénéficier d’une aide supplémentaire.
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