D’après l’OMS, l’épidémie de fièvre hémorragique en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone totalise depuis le début de l’année 528 cas de fièvre hémorragique, dont 364 ont été confirmés par des analyses comme étant dus au virus Ebola ; sur les 528 cas cumulés, on dénombre 337 morts. Le type de virus à l’origine des cas négatifs à l’Ebola n’était pas connu. L’augmentation de cas signalée mercredi s’explique par leur reclassification, passant de la catégorie « probable » à « possible » ou « confirmé ». Ces chiffres doivent être considérés comme « provisoires », insiste l’OMS.
Jointe mercredi par l’AFP depuis Dakar, la coordinatrice des programmes d’urgence de l’ONG Médecins sans Frontières (MSF), Marie-Christine Férir a précisé que l’on était actuellement « face à un deuxième pic de l’épidémie ». L’origine de ce nouveau pic « est difficile » à déterminer avec précision, parce que « les gens bougent beaucoup », certaines familles et communautés vivant de part et d’autre des frontières. Et les funérailles, qui sont des occasions de rassemblements, peuvent être des « amplificateurs de l’épidémie », a-t-elle ajouté.
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion