Le 27 juin dernier, l’ouverture de la quinzième législature a sonné comme une consécration pour Josiane Corneloup. La pharmacienne de Saint-Bonnet de-Joux qui a gravi un à un tous les échelons politiques, y faisait son entrée en tant que députée LR de la deuxième circonscription de Saône-et-Loire.
Titulaire dans une commune du Charolais où elle a grandi, elle a consacré les trente années de sa vie professionnelle et politique à sa région. En tant que conseillère municipale et adjointe au maire tout d’abord, puis comme maire en 2014 et enfin, un an plus tard, en tant que conseillère départementale. Josiane Corneloup ne s’arrête pas là. Elle endosse également la fonction de vice-présidente de la communauté de communes du Grand Charolais ainsi que du Pays Charolais Brionnais, en charge des affaires sociales, de la santé, des personnes âgées et de la qualité de vie.
Mue par l’intime conviction que la concrétisation des projets demande un investissement de tout instant, Josiane Corneloup a toujours défendu ses dossiers sans relâche. C’est ainsi que la titulaire de Saint-Bonnet compte à son actif de nombreuses réalisations comme un contrat local de santé et la création de la première maison de santé du département.
Mais aujourd’hui l’enfant du pays, devenue députée, s’engage dans une nouvelle dimension.
Désormais le TGV fait partie de son quotidien. Trois jours par semaine, l’hémicycle sera son nouveau territoire. Elle compte y porter les dossiers du monde rural, notamment celui de la démographie médicale en perte de vitesse, de l’offre de soins, de la télémédecine ou encore de la couverture haut débit, préalable à toute implantation d’activité.
Conserver la proximité
Josiane Corneloup a conscience de la solennité de sa nouvelle tâche : « quand on vote les lois, il y va de l’intérêt national », déclare-t-elle. Elle n’en redoute cependant pas la charge. Josiane Corneloup considère en effet sa longue expérience comme un atout pour siéger à l’Assemblée nationale. « Je connais parfaitement bien un certain nombre de choses qui me serviront pour étudier les textes et les situations », estime-t-elle.
Forte de ses victoires remportées sur le terrain dans le domaine sanitaire, Josiane Corneloup siégera à la commission des Affaires sociales. Elle n’en délaissera pas pour autant les 145 communes de sa circonscription qu’elle promet de sillonner le week-end. « Il faut conserver cette proximité, rendre compte du vécu des gens, sinon l’engagement politique n’a pas de sens », affirme-t-elle.
Côté officine, Josiane Corneloup a passé le relais à sa fille Clémentine. Avec un petit pincement de cœur pour ses patients si fiers de voir leur pharmacienne devenir députée. Mais, promet-elle, elle ne reniera en rien ses convictions. Car, dit-elle, que ce soit à la pharmacie ou en politique, « on gère la solidarité ».
Titulaire dans une commune du Charolais où elle a grandi, elle a consacré les trente années de sa vie professionnelle et politique à sa région. En tant que conseillère municipale et adjointe au maire tout d’abord, puis comme maire en 2014 et enfin, un an plus tard, en tant que conseillère départementale. Josiane Corneloup ne s’arrête pas là. Elle endosse également la fonction de vice-présidente de la communauté de communes du Grand Charolais ainsi que du Pays Charolais Brionnais, en charge des affaires sociales, de la santé, des personnes âgées et de la qualité de vie.
Mue par l’intime conviction que la concrétisation des projets demande un investissement de tout instant, Josiane Corneloup a toujours défendu ses dossiers sans relâche. C’est ainsi que la titulaire de Saint-Bonnet compte à son actif de nombreuses réalisations comme un contrat local de santé et la création de la première maison de santé du département.
Mais aujourd’hui l’enfant du pays, devenue députée, s’engage dans une nouvelle dimension.
Désormais le TGV fait partie de son quotidien. Trois jours par semaine, l’hémicycle sera son nouveau territoire. Elle compte y porter les dossiers du monde rural, notamment celui de la démographie médicale en perte de vitesse, de l’offre de soins, de la télémédecine ou encore de la couverture haut débit, préalable à toute implantation d’activité.
Conserver la proximité
Josiane Corneloup a conscience de la solennité de sa nouvelle tâche : « quand on vote les lois, il y va de l’intérêt national », déclare-t-elle. Elle n’en redoute cependant pas la charge. Josiane Corneloup considère en effet sa longue expérience comme un atout pour siéger à l’Assemblée nationale. « Je connais parfaitement bien un certain nombre de choses qui me serviront pour étudier les textes et les situations », estime-t-elle.
Forte de ses victoires remportées sur le terrain dans le domaine sanitaire, Josiane Corneloup siégera à la commission des Affaires sociales. Elle n’en délaissera pas pour autant les 145 communes de sa circonscription qu’elle promet de sillonner le week-end. « Il faut conserver cette proximité, rendre compte du vécu des gens, sinon l’engagement politique n’a pas de sens », affirme-t-elle.
Côté officine, Josiane Corneloup a passé le relais à sa fille Clémentine. Avec un petit pincement de cœur pour ses patients si fiers de voir leur pharmacienne devenir députée. Mais, promet-elle, elle ne reniera en rien ses convictions. Car, dit-elle, que ce soit à la pharmacie ou en politique, « on gère la solidarité ».
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