LE PÔLE URBAIN de Rennes se caractérise par ses activités administratives et publiques (25 % de la population active) de même que par sa technopole européenne dédiée aux télécommunications. L’automobile (PSA) y est fortement présente de même que l’édition et la presse (Oberthür, Ouest France). Rennes est également le 8e pôle universitaire français avec 40 000 étudiants.
Les 74 pharmacies de la ville correspondent à une pharmacie pour 2 832 habitants soit un taux d’équipement en officines sensiblement inférieur à la moyenne nationale. Ce taux d’équipement rapporté à la population équivalente (EFM) apparaît encore plus faible soit 3 054 EFM par pharmacie.
Niveau de demande et densité officinale par quartier-iris.
La carte en dégradé de bleu visualise les disparités du niveau de demande par habitant d’un iris à l’autre. Ce niveau varie de 1 à 6 entre iris extrêmes : l’iris 0502-Brno, le plus faible et l’iris 0202-Les Mottais, le plus élevé (presque 2 fois la moyenne nationale). Cet écart traduisant la disparité tant du niveau de vie que le poids des plus de 60 ans.
La carte fournit également le nombre des pharmacies pour chaque iris.
Potentiel de chiffre d’affaires par quartier-iris et poids théorique de la parapharmacie.
La carte en dégradé de rouge indique le potentiel de chiffre d’affaires annuel médicament de chaque iris. Ce potentiel varie de 0,1 million d’euros (iris 0510-les Gayeulles) à 4,3 millions d’euros (0202-Les Mottais). On notera que le potentiel médicament pour l’ensemble de la ville se chiffre à 135,6 millions d’euros, soit 1,83 million d’euros en moyenne par pharmacie. On rappelle que ce potentiel concerne la seule population résidente.
Pour ce qui est du niveau de demande potentielle de parapharmacie, en référence à une moyenne nationale de 17 % (TVA 5.5 % et 19.6 %), on voit qu’il varie d’un iris à l’autre dans une proportion de l’ordre de 1 à 6.
On sait que ce poids potentiel de la parapharmacie est malheureusement difficilement accessible pour des nombreuses pharmacies de petite taille, ne disposant ni de l’espace ni du personnel susceptible de valoriser une telle offre.
Densité officinale et potentiel de demande par quartier-iris insee.
Le graphique en nuage de points (un point par quartier-iris) fait apparaître :
Sur les 92 iris de la ville, dont un à très faible population, 39 n’ont pas de pharmacie, soit 43 % de l’ensemble des iris. Parmi ces iris, 6 ont pourtant une population équivalente supérieure à 3 000 EFM, dont 3 avec plus de 4 000 EFM et 1 disposant de 7 114 EFM. On notera que ce pourcentage de quartiers-iris sans pharmacie est très sensiblement supérieur à celui observé sur l’ensemble des villes des plus de 50 000 habitants, soit de l’ordre d’un tiers.
36 quartiers-iris ont un équipement officinal supérieur à la moyenne nationale (1 pharmacie pour 2 800 EFM) dont 4 correspondant à moins de 1 000 habitants équivalents par pharmacie. Un quartier-iris, 0101-Cathédrale, avec 6 pharmacies dessert 618 habitants équivalents par pharmacie.
La concentration officinale observée en centre-ville est proche de celle observée pour des villes de même taille et correspond à une clientèle de proximité sensiblement minoritaire.
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L’ensemble des études de villes parues dans cette rubrique sont également accessibles sur quotipharm.com dans la rubrique « géopharmacie ».
Voici la prochaine ville retenue pour notre page géopharmacie : Dijon. Mais peut-être avez-vous une suggestion à nous faire (autres villes, contenu et forme de la rubrique…). La ou les pharmacies dont la suggestion a été retenue recevront un zoom plus précis de la ville.
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