Après la signature de l’accord collectif sur le temps partiel en officine le 18 décembre 2013 par les trois chambres patronales et par trois des cinq organisations syndicales de salariés (CFDT, CFTC et CFE-CGC), la CGT et Force ouvrière ont fait valoir leur droit d’opposition. Du coup, l’accord est aujourd’hui caduc. Une situation que déplore le Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine (CNGPO), une absence d’accord étant, à ses yeux, préjudiciable au secteur d’activités. « L’absence d’accord de branche relatif au temps partiel est une contrainte supplémentaire qui met encore à mal la pharmacie en ne tenant absolument pas compte de la réalité de l’activité officinale », estime le CNGPO, qui pense que le premier lésé sera le malade. « La flexibilité en matière de planning nécessaire aux officines proposant à leurs patients de larges plages d’ouverture va devenir très compliquée voire impossible à mettre en place, explique ainsi son président, Pascal Louis. L’accès aux soins et aux services fournis par le pharmacien risque d’être donc plus limité. » « À l’heure où de nouvelles missions sont confiées à la pharmacie qui permettront à chacun d’élargir ses compétences, il est vraiment dommage que deux syndicats de salariés officinaux aient dénoncé cet accord de branche, ajoute-t-il. Souhaitons que la négociation reprenne pour obtenir un accord rapidement. »
Temps partiel : l’absence d’accord est préjudiciable pour l’officine, selon le CNGPO
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Publié le 17/01/2014
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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