Si l’on s’en réfère à des travaux menés chez la souris, un gène pourrait gouverner la prise de poids liée à une alimentation riche en graisses. Ce qu’a montré une équipe américaine de l’Ohio (Kamal Mehta et coll.) en comparant des rongeurs normaux à d’autres génétiquement modifiés pour ne pas exprimer le gène PCK bêta (protéine kinase C). Les premières soumises à un régime hyperlipidique ont rapidement grossi et produit des niveaux élevés de PCK bêta (par rapport à des témoins) dans les adipocytes. Les secondes ont peu grossi et demeuraient en meilleure santé, à régime alimentaire égal avec des taux bas. Une nouvelle voie de recherche dans l’obésité et le diabète s’ouvre.
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