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Les 10 médicaments qui coûtent le plus cher à la Sécu
Lors de la présentation des dépenses de médicaments de ville pour 2013, l’assurance-maladie a classé les 10 médicaments les plus remboursés l’an dernier. Ils totalisent à eux seuls 2,8 milliards d’euros de remboursements (versus 2,74 milliards d’euros en 2012). Largement en tête, le Lucentis (ranibizumab) de Novartis, indiqué dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), cumule 428 millions d’euros de remboursements. Les deux médicaments les plus remboursés suivants sont l’antirhumatismal Humira (adalimumab) avec 382,8 millions d’euros remboursés (+10,6 %) et l’hypolipémiant Crestor (rosuvastatine) avec 342,8 millions d’euros (+1,4 %). Un trio de tête inchangé par rapport à 2012. Le Doliprane (paracétamol) en 4e position, enregistre une nouvelle hausse de ses dépenses remboursées, de 14,1 % en 2013. L’Assurance-maladie précise que « la croissance des volumes de cette spécialité (+11,8 %) dans un contexte épidémique hivernal particulièrement long et intense constitue le principal facteur explicatif de cette dynamique ». Le 5e médicament le plus remboursé est l’antirhumatismal Enbrel (278,1 millions d’euros), suivi de l’antiasthmatique Seretide (274,8 millions d’euros). Les quatre derniers médicaments de ce top 10 sont l’antidiabétique Lantus, le traitement du VIH et des hépatites Truvada, l’hypolipémiant Inegy et l’anticancéreux Glivec.
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3,5 milliards d’euros d’économies sur le médicament
Pour réaliser 10 milliards d’euros d’économies en trois ans, Marisol Touraine prévoit de nouvelles baisses de prix des médicaments de marque et des génériques, et souhaite développer encore la substitution. Économies escomptées : 3,5 milliards d’euros d’ici à 2017. « Pour que cela fonctionne, il faut aussi rassurer les Français : je suis favorable à une campagne d’information pour dissiper les doutes qui subsistent sur la qualité des génériques », annonce-t-elle dans un entretien avec le quotidien « Les Échos ». La ministre de la Santé veut également réduire les actes inutiles ou redondants et la consommation de médicaments inadaptée. « Nous mettrons en place des listes de médicaments recommandés établies par les médecins, pour chaque spécialité, afin de faciliter la qualité de la prescription », précise-t-elle. Selon elle, 2,5 milliards d’euros pourraient ainsi être économisés en trois ans.
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