Cette première rencontre avec Agnès Firmin-Le Bodo, pharmacienne et désormais ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, en charge de l’Organisation territoriale et des professions de Santé, a été l’occasion pour le syndicat d’évoquer différents points à l’agenda de la rentrée officinale.
Pour la première fois depuis le 4 juillet, date de la nomination d’Agnès Firmin-Le Bodo en tant que ministre déléguée auprès de François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, une rencontre s’est tenue avec le syndicat. Pour Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), et des autres membres de la délégation du syndicat, cette entrevue avec leur consœur a permis de balayer ce matin les différents dossiers de la pharmacie. Et d’évoquer de nombreux points en suspens.
Parmi eux, le texte sur la préparation des doses à administrer (PDA), dont la profession attend la parution depuis plus d’une décennie. Ou encore la délivrance à l'officine sans prescription médicale de substituts nicotiniques pris en charge par l'assurance-maladie, prévu par un amendement à la LFSS pour 2022, et dont l’expérimentation n’a toujours pas vu le jour, faute de décret. La ministre a été attentive à l’évocation de ces différents points de blocage, selon Pierre-Olivier Variot. « Nous avons également abordé la question des TROD et rappelé que l’USPO était favorable à l’utilisation en officine de tous les TROD validés. De même, le vaste sujet de la sortie hospitalière et des liens ville-hôpital afférents a été abordé lors des échanges avec Agnès Firmin-Le Bodo, tout comme bien entendu, les soins non programmés », a rapporté le président de l’USPO à l’issue de cette réunion.
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