594 SPÉCIALITÉS viennent de voir passer leur taux de remboursement de 35 à 15 % (« le Quotidien » du 19 avril). L’assurance-maladie compte ainsi économiser près de 145 millions d’euros. De son côté, la Mutualité française n’entend pas payer la différence. Elle recommande à ses mutuelles « de ne plus prendre en charge ces produits qui ne sont plus jugés suffisamment efficaces par la Haute Autorité de santé. » « Soit un médicament est utile et il faut le rembourser, soit il ne l’est pas et il ne faut pas le rembourser », argumente son président, Jean-Pierre Davant. Et la Mutualité française d’assurer qu’il est possible de se passer de certains de ces produits. « Il faut savoir que les médicaments perdent de l’intérêt dans le temps, explique l’un de ses responsables. Ils laissent par exemple la place à des traitements plus performants. Les connaissances en matière de prévention évoluent aussi avec le temps : certains traitements peuvent avantageusement être remplacés par des mesures d’hygiène de vie. »
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La Mutualité ne veut pas payer
Publié le 23/07/2010
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2745
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