La thèse d'exercice marque le début d'une carrière de docteur en pharmacie. Parfois perçue comme un labeur, une peine dont il faut s'acquitter pour clore six années d'études, la thèse peut aussi être l'occasion de révéler le pharmacien que l'on souhaite devenir. C'est un peu ce que nous propose Julie L'Haridon, dont le travail a été récompensé par le grand prix de thèse officine 2016 de l'association des étudiants en pharmacie de France (ANEPF) en partenariat avec Le Pharmacien de France.
Son sujet ? L'avenir. Intitulée « Pharmacien d'officine, un métier d'avenir ! », la thèse de Julie L'Haridon tombe comme un sourire sur un visage triste. « En utilisant la forme exclamative, ce titre est volontairement provocateur. C'est surtout l'optimisme que ce travail doit contribuer à transmettre. Au cours de mes études, je me suis beaucoup interrogée sur cette profession à laquelle je me destinais. Les évolutions promises, les difficultés économiques, les a priori négatifs véhiculés par les médias m'ont fait douter à plusieurs reprises. Pour moi, c'était trop tard pour faire marche arrière. Je n'avais pas fait toutes ces études pour rien. Il fallait que je sache où j'allais et comment m'y préparer. Ma thèse est née de cette réflexion personnelle ».
Naïve ou gonflée, Julie L'Haridon n'est ni l'une ni l'autre. Reconnaissante et déterminée en revanche, ces deux qualités ne l'ont pas lâchée et l'accompagne dans cette carrière naissante. Elle préfère parler de chance et de modèle : « j'ai eu la chance d'être guidée par de très bons pharmaciens. Dès la deuxième année, Michelle Hourmant (à Quimper) m'a accueillie dans son officine, notre pharmacie de famille (Julie est Quimpéroise). Elle m'a communiquée sa passion pour l'officine. J'y ai travaillé jusqu'à la fin de mon cursus. C'est important d'avoir des modèles, des exemples à suivre ». Et de nouvelles choses à construire. « Toutes les générations ont leur pierre à apporter pour que la profession reste tournée vers l'avenir. J'en suis consciente et ma thèse est la première marque de mon engagement ». Votre maître de stage a raison chère consoeur, votre travail est une véritable « bouffée d'oxygène ».
Son sujet ? L'avenir. Intitulée « Pharmacien d'officine, un métier d'avenir ! », la thèse de Julie L'Haridon tombe comme un sourire sur un visage triste. « En utilisant la forme exclamative, ce titre est volontairement provocateur. C'est surtout l'optimisme que ce travail doit contribuer à transmettre. Au cours de mes études, je me suis beaucoup interrogée sur cette profession à laquelle je me destinais. Les évolutions promises, les difficultés économiques, les a priori négatifs véhiculés par les médias m'ont fait douter à plusieurs reprises. Pour moi, c'était trop tard pour faire marche arrière. Je n'avais pas fait toutes ces études pour rien. Il fallait que je sache où j'allais et comment m'y préparer. Ma thèse est née de cette réflexion personnelle ».
Naïve ou gonflée, Julie L'Haridon n'est ni l'une ni l'autre. Reconnaissante et déterminée en revanche, ces deux qualités ne l'ont pas lâchée et l'accompagne dans cette carrière naissante. Elle préfère parler de chance et de modèle : « j'ai eu la chance d'être guidée par de très bons pharmaciens. Dès la deuxième année, Michelle Hourmant (à Quimper) m'a accueillie dans son officine, notre pharmacie de famille (Julie est Quimpéroise). Elle m'a communiquée sa passion pour l'officine. J'y ai travaillé jusqu'à la fin de mon cursus. C'est important d'avoir des modèles, des exemples à suivre ». Et de nouvelles choses à construire. « Toutes les générations ont leur pierre à apporter pour que la profession reste tournée vers l'avenir. J'en suis consciente et ma thèse est la première marque de mon engagement ». Votre maître de stage a raison chère consoeur, votre travail est une véritable « bouffée d'oxygène ».