SEPT syndicats de professionnels libéraux, dont l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) dénoncent dans un communiqué commun « la lourdeur, les contraintes administratives et juridiques et l’absence de lisibilité » du développement professionnel continu (DPC). Ils jugent qu’il « ne permet pas d’accompagner le développement des équipes » de professionnels des soins primaires sur le terrain, qu’ils soient médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers, dentistes, kinésithérapeutes ou pédicures-podologues. Selon eux, « l’État a généré un dispositif qu’il ne maîtrise plus, ni dans sa finalité, ni dans ses objectifs, ni dans son pilotage ». Ils estiment que les formations pluriprofessionnelles doivent devenir « une priorité et bénéficier de financements adéquats pour l’ensemble des professions des soins primaires ». Ils réclament donc « des évolutions rapides » du dispositif, ainsi que « l’implication pleine et entière des différentes professions dans leurs composantes scientifique et professionnelle ».
            DPC
        
    
    Un dispositif lourd selon les libéraux
Publié le 05/12/2013
    - 0 RéactionsCommenter
 - Partager sur Facebook
        Facebook
 - Partager sur X
        X
 - Partager sur Linkedin
        Linkedin
 - Partager par mail
        Mail
 
Article réservé aux abonnés
    - 0 RéactionsCommenter
 - Partager sur Facebook
        Facebook
 - Partager sur X
        X
 - Partager sur Linkedin
        Linkedin
 - Partager par mail
        Mail
 
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3052
PLFSS 2026
DMP non complété : quelles pourraient être les sanctions pour les professionnels de santé ?
PLFSS 2026
Budget de la Sécu : 7 sujets qui peuvent changer l’exercice pharmaceutique
Comptes de la Sécu
La Cour des comptes préoccupée par la situation financière de la Sécurité sociale
Vaccination à l’officine
Campagne grippe : déjà plus de 2 millions de vaccinations à l’officine