Une affaire opposant deux pharmaciens diplômés de la faculté de pharmacie de Lille au début des années 2000, a été portée hier devant le conseil des prud’hommes de Saint-Quentin (Aisne).
Le premier, ancien salarié de l’industrie souhaitant se reconvertir dans l’officine, réclame à son ancien camarade de fac chez lequel il a travaillé, 40 000 euros pour n’avoir perçu ni salaire, ni congés payés pendant la période précédant son embauche comme pharmacien adjoint.
Le second, titulaire de la pharmacie de la Basilique à Saint-Quentin, demande pour sa part 10 000 euros en guise de réparation pour avoir été, selon lui, victime d’une manipulation. Il reproche en effet à son ancien adjoint d’avoir profité de l’occasion pour mûrir son projet d’association avec la titulaire voisine.
D’autant que, rappelle le pharmacien de Saint-Quentin, la réglementation interdit à un adjoint de s’installer à proximité directe de son employeur. Délibéré le 14 mars.
Un titulaire accuse son adjoint de manipulation
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Publié le 19/01/2016
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Crédit photo : Phanie
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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