Cet été, certains pharmaciens ont vu des factures rejetées par l’assurance-maladie pour la dispensation adaptée (DAD), notamment lorsqu’il y avait plusieurs codes DAD sur la même facture. Ces factures doivent être réémises afin que l’assurance-maladie puisse les retraiter.
Des factures codant des actes DAD (dispensation adaptée) ont été rejetées par l’assurance-maladie cet été. Ces rejets sont survenus quand la facture comportait plusieurs codes DAD. Mais le problème semble être désormais réglé, selon l'assurance-maladie. En effet, « depuis le 5 août 2020, la mise à jour des logiciels SESAM-Vitale prend en compte l’évolution sur la quantité de "DAD" facturables, limitée à 10 unités par facture », indique l’organisme, qui précise que « les factures mises en attente ont été recyclées dès correction de ce paramétrage ».
En revanche, en ce qui concerne les factures rejetées, elles doivent être émises à nouveau par les pharmaciens afin qu’elles soient traitées par les caisses.
Par ailleurs, certains pharmaciens ont également été confrontés à un paiement partiel en cas de facturation d’un seul code « DAD » en modifiant le montant facturé. Pour ces factures payées partiellement en se limitant à une quantité autorisée de 1 DAD, le pharmacien n’a pas besoin de les réémettre. Elles vont être retraitées par les caisses manuellement.
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