Sur 4 à 500 appels pour intoxication aux champignons reçus chaque année par le CAPTV de Toulouse :
- 10 % des patients peuvent rester à domicile (cas bénins ou déjà résolus)
- 40 % sont orientés vers un médecin de ville
- 50 % sont hospitalisés : 40 % pour des examens complémentaires et 10 % pour des cas graves nécessitant une prise en charge d’urgence.
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