Parallèlement aux soins thermaux proprement dits, ont été introduites des propositions d’éducation pour les patients, sous forme d’ateliers interactifs. Ces dernières années, des programmes d’éducation thérapeutique, plus formels, ont été développés au niveau national, agréés par les Agences régionales de santé (ARS),
pour des pathologies aussi diverses que la fibromyalgie, les suites de cancer, le syndrome métabolique, le psoriasis, la dermatite atopique, le lymphœdème, les lombalgies, l’asthme, le sevrage aux BZD, etc. Ils restent à la charge des patients, excepté lorsqu’existent des financements alternatifs (associations, entrepreneurs thermaux ou collectivités locales).
Les nouvelles technologies rendent de précieux services également pour l’appropriation d’un programme pédagogique, le temps de la cure, puis au décours : l’activité physique peut être monitorée à partir d’un smartphone par exemple. Elles permettent encore de cultiver le sentiment d’appartenance à un réseau, issu de la station thermale, où l’on échange des informations sur la maladie et les traitements, plus volontiers si l’on est éloigné d’un « bassin de vie ».
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