Metformine : c’est actuellement le traitement de première intention, surtout en cas de surcharge pondérale (en raison d’un effet anorexigène).
Sulfamides et répaglinide : ils sont indiqués lorsque le régime alimentaire, l’exercice physique et la réduction pondérale seuls ne sont pas suffisants pour rétablir l’équilibre glycémique.
Gliptines : en monothérapie chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant malgré un régime alimentaire et l'exercice physique seuls et pour lesquels la metformine n'est pas appropriée en raison d'une intolérance ou d'une contre-indication. En bithérapie orale, en association avec la metformine ou un sulfamide hypoglycémiant et en trithérapie orale, en association avec un sulfamide hypoglycémiant et la metformine. Ces médicaments (il faut avoir présent à l’esprit que la réponse est hétérogène) présentent l’avantage (en monothérapie) de ne pas induire d’hypoglycémie, ni de prise de poids.
Nouveau : les gliptines sur le marché français sont remboursées dans le cadre d’une trithérapie orale (+ metformine et sulfamide) ou d’une bithérapie orale (+ metformine) + insuline.
Analogues du GLP-1 : ils sont utilisés chez l'adulte (tout particulièrement chez les obèses ; IMC supérieur à 30), en association avec d'autres hypoglycémiants, y compris l’insuline, chez les patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat aux doses maximales tolérées de ces traitements oraux.
Nouveau : les deux produits commercialisés sont pris en charge en association avec la metformine et/ou un sulfamide hypoglycémiant quand l’écart à l’objectif glycémique est supérieur à 1 % avec un IMC supérieur ou égal à 30 ou assorti d’un risque préoccupant de prise de poids sous insuline.
Inhibiteurs des alpha-glucosidases : ils sont utilisé en complément d’un régime alimentaire ou en association aux autres antidiabétiques.
Insuline : le recours à celle-ci survient quand les autres thérapeutiques se sont montrées insuffisamment efficaces.
À noter la récente commercialisation d’une association insuline dégludec (insuline basale) avec un analogue du GLP-I (liraglutide) indiquée quand les antidiabétiques oraux seuls ou associés à un analogue du GLP-1 ou à une insuline basale ne permettent pas un contrôle glycémique adéquat.
Sulfamides et répaglinide : ils sont indiqués lorsque le régime alimentaire, l’exercice physique et la réduction pondérale seuls ne sont pas suffisants pour rétablir l’équilibre glycémique.
Gliptines : en monothérapie chez les patients dont le contrôle glycémique est insuffisant malgré un régime alimentaire et l'exercice physique seuls et pour lesquels la metformine n'est pas appropriée en raison d'une intolérance ou d'une contre-indication. En bithérapie orale, en association avec la metformine ou un sulfamide hypoglycémiant et en trithérapie orale, en association avec un sulfamide hypoglycémiant et la metformine. Ces médicaments (il faut avoir présent à l’esprit que la réponse est hétérogène) présentent l’avantage (en monothérapie) de ne pas induire d’hypoglycémie, ni de prise de poids.
Nouveau : les gliptines sur le marché français sont remboursées dans le cadre d’une trithérapie orale (+ metformine et sulfamide) ou d’une bithérapie orale (+ metformine) + insuline.
Analogues du GLP-1 : ils sont utilisés chez l'adulte (tout particulièrement chez les obèses ; IMC supérieur à 30), en association avec d'autres hypoglycémiants, y compris l’insuline, chez les patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat aux doses maximales tolérées de ces traitements oraux.
Nouveau : les deux produits commercialisés sont pris en charge en association avec la metformine et/ou un sulfamide hypoglycémiant quand l’écart à l’objectif glycémique est supérieur à 1 % avec un IMC supérieur ou égal à 30 ou assorti d’un risque préoccupant de prise de poids sous insuline.
Inhibiteurs des alpha-glucosidases : ils sont utilisé en complément d’un régime alimentaire ou en association aux autres antidiabétiques.
Insuline : le recours à celle-ci survient quand les autres thérapeutiques se sont montrées insuffisamment efficaces.
À noter la récente commercialisation d’une association insuline dégludec (insuline basale) avec un analogue du GLP-I (liraglutide) indiquée quand les antidiabétiques oraux seuls ou associés à un analogue du GLP-1 ou à une insuline basale ne permettent pas un contrôle glycémique adéquat.
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Dans quelles situations cliniques ?
Quelques cas particuliers
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